Pissing over the rainbow

Loin d'être une incitation à une pratique sexuelle telle ou telle, qui ne se serait jamais imaginé s'altérer (il s'agit du concept inverse ou plutôt faisant suite logique au concept de se désaltérer, tout le monde aura compris), par dessus une route lisse et pentueuse de couleurs, une farandole de joie, de gaiété, avec une certaine sensibilité à la saveur aigre-douce. Sans pour autant en saisir un sens particulier, car il n'y en a pas, je préfère voir les murs de la ville tels qu'ils sont, un enchainement, une farandole joyeuse du travail des maçons entaché par l'exubérance de centaines de vagabonds endimanchés prêts à exprimer leur art sur un vitrail mural qui de loin ne fait l'unanimité d'une foule que trop habitué au confort d'une vie luxurieuse, mais non denué de plaisirs que trop phantasmogriques pour se laisser distraire par une division de boeufs pourchassant telle une proie un objet rond, voire oval, comme certains trous de balle.Vous l'aurez compris, la réalité n'existe pas, pas plus que ce blog. Alors écrivons la!

Tous les hommes, aussi peu enclins soient ils à croiser l'épée avec un autre chevalier, ont déja eu du foutre dans leur rectum. Voilà pour résumer l'histoire de ce blog, que je fermerai une fois que quelqu'un aura réussi à me convaincre de la fausseté de mon affirmation. Invalider une information est une chose, lire un blog pathologiquement pourri en est une autre. Est née ce qui ne devait jamais du naitre aurait murmuré à l'oreille Poe dans son cinglant recueil des montagnes jupiteriennes, mais qu'importe que la musique soit bonne, tant qu'elle n'est pas la. Sur ce je vais aller m'acheter une bague.